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27 janvier 2018 6 27 /01 /janvier /2018 14:21

Recette pour bien s’endormir …

Un oreiller moelleux …si possible de plumes douces    

500 gr de paresse

3 pincées d’indolence

1 cuillère de détente

Un soupçon de désir

Prenez un bon lit douillet, tamisez la lumière et incorporez un grand bol de légèreté.

Saupoudrez le tout d’un nuage de volupté

Au dernier moment, rajoutez la tendresse.

Fermez les paupières et laissez passer le marchand de sable…

Pour faire de beaux rêves…

500 gr d’amour

200 gr de bonheur et 100 gr de passion

3 belles cuillères de volupté

1 zeste de désir et d’aventure.

Effeuillez doucement le bonheur,  incorporez délicatement la volupté.

Pour éviter les cauchemars, chassez les idées noires, 

laissez mijoter tendrement le moment de dormir et ajoutez un rien de fantaisie et de féeries.

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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 20:35

Ne raconte pas de salades  et ne te prend pas le chou   C’est pas la fin des haricots.

On va te donner une pêche    d’enfer pour être aux petits oignons   et tu auras la banane   et te fendras la poire  Toi la bonne pomme   au cœur d’artichaut  qui ne compte pas pour des prunes 

                                                                Alors Bananniversaire

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2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 17:21

Mignonne, allons voir si l'arthrose

Qui ce matin, tant m'ankylose

Depuis qu'a sonné mon réveil

Pour clore une nuit de sommeil

Aura perdu de sa vigueur

Après un footing d'un quart d'heure.

Las ! Voyez comme sont les choses,

Il faudrait que je me repose.

Mes maux, loin de se calmer

Las, las, ne cessent d'empirer. Ô vraiment, marâtre nature

Avec l'âge la douleur perdure !

Donc, si vous m'en croyez, mignonne,

Tandis que votre âge fleuronne

En sa plus verte nouveauté

Avant que ne ternisse votre beauté,

Pour assouvir toutes envies

Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie !

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 11:26

J'ai retrouvé un Père Cent qui date de 1973.....j'aime beaucoup car très bien fait...

Au Père Spicace,  
Un grand malheur est arrivé à l'abbaye et j'ai la pénible mission de vous en faire part.
Mardi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'abbé Quille  perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.
Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul soutien.  

Un seul restait joyeux : le père Fide.
Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui s'était passé mais rien n'y fit.   
Après l'accident de l'abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l'abbaye.
Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après.

Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à  l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage.  La messe fût dite sur une musique de l'abbé Thoven.
Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir.
A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain,
l'abbé N'Pé.   
Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière : l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs.  
Le Père Clus s'y opposa.
L'abbé Casse en fut enchanté.
Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre.
Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.
Finalement on décida que, comme à l'accoutumée, l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt.
Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l'absence du Père Missionnaire, l'abbé Nédiction donna l'absolution.
Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe.
Celle-ci fût recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse.
Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.
Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin.
L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes.
La Mère Cédés , invitée pour l'occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
A l'arrivée, le Père Sil et l'abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux.
Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun pût se remettre de ses émotions.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 15:22

Les profs ont de la répartie.... quelques exemples que j'adore...

 

"Jusqu'à présent j'ai été beaucoup trop laxiste et maintenant je vais devenir laxatif: ça va chier!"
>
>
- Prof (aux parents lors d'une réunion) : Vous vous êtes mis à 2 pour faire un con pareil et vous voulez que moi tout seul j'en fasse un intello?
>

> - Statistiquement, dans la classe, les garçons se prennent plus de râteaux qu'ils ne roulent de pelles.
>

>
- J'ai l'impression d'être sous un chêne tellement y a de glands ici !
> Tony : Monsieur, j'ai pas compris.
> Prof : Je t'expliquerai de nouveau l'année prochaine !
>

> Un élève porte un T-shirt avec marqué dessus "La connerie tue"
> Après un long silence où le prof regarde le T-shirt de l'élève :

> -"Malheureusement non..."
>
>
- L'odeur caractéristique de la boule puante se répand dans la classe.
> "Fermez porte et fenêtres, nous allons pleinement profiter de cette atmosphère de travail ..."
>
>
- "On", pronom indéfini qui, lorsqu'on rajoute un "c" donne la nature de la personne qui l'utilise.
>

> - "Qu'est-ce que j'ai écrit dans la marge ? Fais voir ? Ah oui : illisible !"
>

> - "Oh whisky, oh whisky."
> - "Je ne m'appelle pas whisky monsieur."
> - "Oui, mais tu me saoules."
>

> - "Si les portables n'existaient pas, on se demanderait ce que tu fais avec tes mains sous la table ..."
>

> - "Dites donc, votre note de maths au bac, c'est quand même pas terrible!"
> - "Oui mais c'est le stress de l'examen!"
> - "OK. (il regarde ses bulletins) Eh ben, vous avez stressé toute l'année à ce que je vois !"
>
>
Virginie, au prof de maths jeune et plutôt beau gosse :
> - "Monsieur, vous me trouvez comment?"
> - "Pardon ?"
> - "Est-ce que vous me trouvez belle ? Dites-le, n'ayez pas honte ..."
> - "Oui Virginie, tu es belle comme une sirène ... Moitié femme, moitié thon ..."

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:52

Les 10 Commandements du Flemmard    rire1310.gif

 

1 – Aime ton lit comme toi-même

2 – Ne te lève que pour aller te coucher

3 – Si l’envie de travailler te prend, assieds-toi et attend que ça passe

4 – Le travail c’est la santé, alors donnez le votre aux malades

5 – Fais-en le moins possible et ce que tu dois faire, fais le faire par un autre

6 – Pourquoi faire aujourd’hui ce tu peux remettre à demain ?

7 – Entre deux siestes, repose-toi

8 – La seule chose que tu saches faire rapidement, c’est de te fatiguer

9 – Le sommeil est le meilleur ami de l’homme

10 – En ne faisant rien, on évite les erreurs  rire1310.gif

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 11:47

 

J’aime les pommes de terre

Et pour vous en convaincre définitivement, je ne peux mieux faire que de la comparer la pomme de terre à une femme.

J’ai toujours été frappé, par l’utilisation fréquente de noms féminins pour en désigner les variétés comme les « Charlotte, Adriana, Amandine, Bernadette, Désirée, Elodie, Juliette, Jeannette, Chérie, les  Mona-lisa, les Belles de Fontenay » etc…et surtout du mode de cuisson ;

Mesdames, vous n’êtes pas des pommes de terre et cependant …

Que vous soyez en robe de chambre ou en chemise,    patates-chef.gif

Sans Pelure ou drapées de Mousseline, vous restez toujours Duchesse ou dauphines !

Parfois atteintes de vapeur, mais rarement soufflées, vous gardez la ligne allumette ou la taille noisette ! Vous êtes délicieuse à croquer, tant que vous n’avez pas germé ! Vous êtes délicieuse à croquer, surtout dorées, mais meilleures encore, quand vous êtes sautées.

Quand, de vos maris, j’épluche la conduite, je découvre qu’avec vous ils ont la frite. Ils sortent sans pelure, même si ils pèlent de froid.

Pour eux, même si vous n’êtes plus des primeurs, vous demeurez d’éternelles nouvelles ! Pour vous, ils se laissent arracher les yeux. Sans vous, ils sont dans la purée ou ils en ont gros sur la patate alors que de la société, ils sont le gratin.

 

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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 09:11

Le Français...une langue animale.

C'est un ami qui m'a envoyé ce petit article que je trouve excellent.

La preuve que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf, têtu comme une mule, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous,un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche. La
preuve ...

 
 
Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme
un gardon et là, ... pas un chat! Vous faites le pied de grue, vous
demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin.
Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu
ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous
l'a certifié: cette poule a du chien, une vraie panthère!
C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous
traite comme un chien.
 
Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche
arrive.
Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser
trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de
cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu'une limande, myope
comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Une
vraie peau de vache, quoi! Et vous, vous êtes fait comme un rat.
 
Vous roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse,
mais vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez,

mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le
poisson. Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau
(ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon). Vous finissez par
prendre le taureau par les cornes et vous inventer une fièvre de cheval qui
vous permet de filer comme un lièvre.
C'est pas que vous êtes une poule mouillée, vous ne voulez pas être le
dindon de la farce. Vous avez beau être doux comme un agneau sous vos airs
d'ours mal léché, faut pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez
devenir le loup dans la bergerie.
 
Et puis, ça aurait servi à quoi de se regarder comme des chiens de faïence.
Après tout, revenons à nos moutons: vous avez maintenant une faim de loup,
l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à
fouetter , Et vous êtes loin de bander comme un âne 

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 14:51

Nous avons .......

Argent dans les cheveux

      Or dans les dents

            Cailloux dans les reins

                   Sucre dans le sang

                         Plomb dans les pieds

                              Fer dans les articulations

Source inépuisable de gaz naturel

 

 Vous ne pensiez pas accumuler tant de richesses !!!!

 

 

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 18:52

Petite histoire...  origine de l'expression : La Peau des Couilles

 

Vers 1573, Le Duc de la Mirandière, passionné de chasse, mais dépité par le peu de gibier ramené, convoqua tous les colporteurs, boutiquiers, artisans et nobliaux de son vaste domaine et leur demanda de trouver une arme ou un outil capable d'aider à la traque du gibier.

Quelques mois plus tard, un hobereau du nom de Marcel Ecouille, demanda audience au château pour faire la démonstration d'une invention capable d'attirer toutes sortes d'animaux.

Devant le duc et sa cour, il demanda le silence et sortit de son pourpoint un sifflet de forme curieuse (un appeau). Le portant à la bouche, il imita des cris d'animaux qui tour à tour, vinrent s'ébattredevant les douves du château : oiseaux, lièvres, cerfs, sangliers et gibiers divers.

Le Duc, subjugué par la science du Hobereau, dit à Marcel Ecouille qu'il était prêt à lui payer le prix demandé pour son appeau et pour qu'il lui enseigne ses connaissances. Marcel Ecouille, répondit qu'il en coûterait au Duc la moitié de sa fortune.

Cette requête fit naître la réprobation dans l'assemblée mais le Duc accepta la transaction.
Ainsi, dans la France entière, le bruit se répandit qu'un hobereau avait vendu un sifflet pour( une somme astronomique du Duc de la Mirandière, qui en avait payé le prix sans hésiter.

Ainsi naquit une nouvelle expression "Ca coûte l'appeau d'Ecouille" et non pas "La Peau des Couilles", pour qualifier une marchandise hors de prix !!

Un peu de culture..... ne peut que vous faire du bien !! hihihi

                

 

                               

 

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